Âgé·e·s de 27 à 31 ans, ces étudiant·e·s ont engagé, au préalable à leur entrée à exerce, un parcours professionnel en tant qu’interprète/performer/chorégraphe. Comme toutes les précédentes, cette promotion se distingue par sa dimension internationale.
— Master 1
— Olivier Kiswinsida Gansaore
fait partie de la relève de la création contemporaine burkinabé. ll a
suivi le programme triennal de formation en danse « Yeleen Don »
du CDC-La Termitière. Il est le directeur artistique de la compagnie
GRAND GESTE et initiateur d’un projet de formation et de réinsertion
de personnes en situation carcérale ; projet auquel est associé un
festival dénommé « Vague des ailes ».
— Léone Salinas Muñiz
est né·e à Porto Rico. Léone est un·e artiste de la performance, de la
danse et des arts visuels. Iel est diplômé·e d’une licence en sciences
sociales de l’Université de Porto Rico. Sa recherche entrelace
les thèmes de la migration, de l’incorporation d’une temporalité
décoloniale et de la récupération d’une mémoire ancestrale à travers
le mouvement corporel et le butô.
— Roberto Dagô
est un performeur et chorégraphe brésilien dont les créations
envisagent le corps comme un médium croisant les questions
d’identité, de vulnérabilité et d’altérité. Il travaille à l’intersection de
différentes pratiques articulant corps, image-imaginaire et politique.
Il est diplômé en arts visuels (UnB, Brasília), titulaire d’un master en
Création Artistique - Arts de la scène (UGA, Grenoble) et a suivi la
formation PACAP5 (Fórum Dança, Lisbonne).
— Jean Lesca
a étudié la danse contemporaine au CNDC d’Angers et la
performance à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles. Il
a collaboré avec avec différent·e·s artistes dont Ola Maciejewska,
Gurshad Shaheman, Castélie Yalombo Lilonge, Lotte van Gelder. À
exerce, il souhaite créer des chorégraphies post-nature en puisant
dans divers champs du savoir – biologie, théories féministes et queer,
danses et contes fantastiques.
— Shira Marek
est née à Jérusalem. Shira est chorégraphe, interprète et
photographe. Elle est diplômée de The School of Visual Theater
de Jérusalem. À travers la chorégraphie en tant qu’acte situé, et
en utilisant des objets et des espaces industriels, elle cherche à
présenter les limites de la tendresse versus celles de la force et la
réalité de relations souvent dysfonctionnelles.
— Olivia Rivière
est une chorégraphe et danseuse basée à Copenhague/Stockholm.
Travaillant à partir d’une pratique qu’elle appelle le « corps sonore »,
elle crée des performances viscérales cherchant à évoquer des
espaces et des relations affectives et résonnantes. Elle obtient
une licence à DDSKS en 2015, puis cofonde l’espace Danseatelier
(Danemark) qui explore collectivement des modes de production
alternatifs dans le champ de la danse.
— Marcela Quinchavil Steen
est une artiste de danse suédo-chilienne. Elle détient un diplôme de
licence en danse contemporaine de l’Université Laban au Royaume-
Uni. Sa recherche explore un mouvement entre faire et être, pour
trouver le « presque », un mouvement qui n’est pas vraiment ce qu’il
prétend être.