d'après une histoire vraie
Christian Rizzo
L’Avant Seine, Théâtre de Colombes, in partnership with Escales Danse
L’Avant Seine, Théâtre de Colombes, in partnership with Escales Danse
Théâtre de Bressuire, Scène de Territoire, Bressuire
Odyssée, Scène conventionnée de Périgueux, Périgueux
. de 10h à 12h, ICI—CCN
" During the workshop, we will study movement patterns, as well as temporal, rhythmic, and spatial choices, questioning what drives us physically and energetically. Why do we dance? What changes occur in my body when I move? Through these questions, we will explore the transformations and changes in the structure and shape of the body when we experience dance.
The focus will be on the body, contemporary movement forms, and other popular Brazilian manifestations. Additionally, we will pay attention to individual and collective interaction.
The idea is for us to connect through games, carnival steps, and energetic exchanges, with the goal of embracing risk, discovering the joy of vulnerability and following new and unexpected paths. "
30€ la session de 5 cours ou 6€ la session individuelle
→ Inscriptions et réservations : 04 34 48 08 66 – n.berger-amari@ici-ccn.com
ICI—CCN
Les approches écocritiques se proposent d’aborder les œuvres et les pratiques artistiques en les mettant en regard des réalités et des pensées – scientifiques, philosophiques, politiques – de l’écologie. D’un côté, il s’agit de voir en quoi les discours, les savoirs, les exigences et les menaces écologiques impactent ou résonnent dans le champ artistique (que ce soit sur le plan du propos, des formes, des modes de conception et de diffusion…). De l’autre, il s’agit de réfléchir à l’apport spécifique des arts vis-à-vis de ce contexte : dans quelle mesure et de quelles façons contribuent-ils à ébranler ou remodeler nos représentations, à activer nos imaginations, et ce faisant, à réévaluer nos manières de voir, de faire, de penser ?
Tout en étant guidés par les mêmes questionnements, les travaux en écocritique affective se proposent quant à eux d’analyser les œuvres du point de vue des émotions qu’elles mettent en jeu, qu’elles représentent ou qu’elles produisent.
Alors que l’écocritique :
réfléchit, dans l’absolu, aux modalités selon lesquelles les mondes non-humains sont pris en compte, représentés et mis en jeu par les artistes ;
s’attache à la façon dont les œuvres critiquent, renforcent ou déjouent les rapports d’exploitation, de minoration ou de dé-légitimation dont ces mondes peuvent être l’objet ;
analyse les perspectives, éthiques et politiques, que ces gestes artistiques engagent :
… l’écocritique dite « affective » resserre le champ de l’investigation et se propose de :
qualifier le type de relations affectives que les œuvres suscitent vis-à-vis des êtres et des mondes non-humains qu’elles mettent en jeu ;
étudier les procédés (narratifs, rhétoriques, scénographiques, kinesthésiques…) par lesquels sont créés des effets d’empathie, de sympathie ou d’antipathie ;
interroger les implications (éthiques et politiques) que ces processus émotionnels peuvent avoir.
Dans le cadre de la « classe ouverte », il s’agira de déplier les questionnements, les intérêts et les limites propres à l’écocritique en général, et à l’écocritique affective en particulier.
Entrée libre sur réservation en ligne
Sadler’s Wells in the framework of Dance Reflections by Van Cleef & Arpels (United Kingdom)
Studio Yano, ICI—CCN Montpellier Occitanie
. de 10h à 12h, ICI—CCN
" Je propose de partager des pratiques que j’ai l’habitude de traverser en solo ou avec des groupes de danseureuses à l’occasion des différents processus de création. Nous commencerons avec une pratique de yoga kundalini adaptée à tout le monde pour réveiller le corps dans son rapport à l’énergie et connecter le souffle avec le mouvement. Ces séries de mouvements répétitifs et simples permettent aussi de se préparer ensemble, en commençant par partager une expérience de corps commune. Nous expérimenterons ensuite des pratiques d’improvisation autour de la notion de paradoxe. Pour moi danser c’est en grande partie « être dansée ». C’est à la fois bouger et être bougée, toucher et être touchée, produire et recevoir, sentir et figurer. Il s’agit de se laisser traverser par les sensations, les émotions, la musicalité, l’architecture, comme une infinité de prétextes à l’état de danse. Par la détente mentale et en mettant de côté la question de l’originalité, nous chercherons à laisser apparaitre l’expressivité inconsciente de nos corps et de nos danses. "
30€ la session de 5 cours ou 6€ la session individuelle
→ Inscriptions et réservations : 04 34 48 08 66 – n.berger-amari@ici-ccn.com
ICI—CCN
Pour cette classe ouverte, nous allons tenter de mettre au travail des mots présents dans notre collaboration autour de la construction chorégraphique : performativité, composition, dramaturgie, matériau, pratique, physicalité, adresse... Nous allons tenter de réfléchir autour de ces mots, tenter peut-être de les définir depuis le terrain de notre expérience partagée de travail, et par là tenter aussi de les étirer vers d'autres imaginaires en échange avec vous.
Entrée libre sur réservation en ligne
Auditorium, Opéra de Dijon, in partnership with Le Dancing CDCN Dijon Bourgogne-Franche-Comté and the Opéra de Dijon, as part of festival Art Danse 2025
Studio Yano, ICI—CCN
— Meeting with Isabela Fernandes Santana and her team about the creative process
What remains after a disappearance? Drawing on the metaphor of black holes, Isabela Fernandes Santana combines the intimate experience of loss with Brazil's colonial history. How many black women have disappeared, their bodies swallowed up or made invisible? In search of spaces, the vibrant edges where movement, emotion and memory coexist, La Couleur Perdue makes its way beyond the "point of no return".
Entrée libre sur réservation